Site naturel d'un kilomètre carré, proche de la frontière malienne, il servait de refuge en temps de conflits ou de guerres.
Ce lieu est longtemps tenu secret par les chefs traditionnels Turka qui redoutaient la reprise de conflits.
La population maintenue recluse dans ces lieux durant plusieurs mois, a organisé l'espace en habitations, en salle de réunions, salle de soin, salle d'accouchement, salle pour entreposer les butins de guerre, en prison.
Il a été définitivement abandonné par les habitants depuis les années 60.